4ème rencontre avec Maître Justin (le 23/06/2017)

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il y a 7 ans

Après une semaine de travail quasi quotidien de ma rondelle et de mes tétons et d'abstinence sexuelle, je dois rencontrer enfin mon Maître aujourd'hui, vendredi après-midi. Le timing est serré mais je ne peux pas me plaindre, c'est moi qui l'ai demandé.

C'est donc la course à la préparation dans ce labyrinthe adossé au sex-shop nancéien où nous avons coutume de nous rencontrer. Vous me direz, ce n'est pas grave si je ne suis pas tout à fait à l'heure car Maître Justin m'a informé qu'il aurait une demi-heure de retard le soir. Mais j'ai quand même une consigne en attendant : si on m'accoste, je dois dire que je serai mis à disposition par mon Maître vers 16h30 et aussi que je serai seul dans le club dans la soirée pour satisfaire tout ceux qui en voudront.

Finalement, c'est avec un quart d'heure de retard que je suis prêt, nu, debout devant le fumoir, portant au cou la pancarte exigée : "Jérôme, Vraie salope soumise, J'ai l'honneur d'appartenir à Maître Justin". Un peu stressé je dois dire. Il faut dire que mon Maître m'a promis beaucoup d'humiliation et de sévices. Et je ne sais pas s'il va être satisfait du travail de mes tétons et rondelle. Pendant mon attente, comme d'habitude, les badauds tournent, passent, disparaissent, reviennent etc. Un travesti discute avec un homme. Ils semblent bien s'entendre. Puis ils s'en vont ensemble. Je suis un peu jaloux, j'aimerais bien aussi passer du bon temps. Un autre homme arrive, me voit, fait mine d'entrer dans le fumoir et, sans me regarder, me tripote les parties au passage d'une main "innocente". Il ressort immédiatement et recommence. Je ne suis pas toujours très réactif. Et là, j'attends qu'il m'aborde sans le faire moi-même. Résultat : il s'en va et disparaît. Je m'en veux. Il repasse quelques instants plus tard. Je l'aborde cette fois. Il n'est pas intéressé par m'attendre ce soir. Zut alors. Je continue donc l'attente mais plus personne ne passe. Il n'y a pas grand monde ...

Puis Maître Justin arrive. Je le salue et attends ses instructions. Il me fait monter directement dans la cabine où nous avons l'habitude de nous rendre. En chemin, nous croisons l'homme qui était monté avec le travesti. Ils doivent donc avoir déjà terminé leurs jeux. Il tend la main pour me peloter les couilles quand j'arrive à sa hauteur. Nous lui faisons savoir que je serai disponible plus tard, au cas où et nous continuons notre route.

Entrés dans la cabine, mon Maître ferme la porte à clé et obstrue la petite fenêtre donnant sur la cabine voisine et d'où les curieux pourraient nous voir. Nous voici seuls.

Mon Maître commence par s'intéresser à mes tétons. Ils sont assez durcis à son goût. Il me met une seringue au téton gauche pour l'aspirer et le développer. Puis il me dit de me branler pour durcir ma queue. La dernière fois, il a trouvé que je bandais mou. D'où l'abstinence des derniers jours. Je m'exécute et bande solidement assez vite. Il est satisfait. Mais il me fait remarquer que je ne me suis pas rasé les aisselles ni le sexe. Il m'avait dit de le faire mais j'ai oublié. Je vais être puni, mais je ne sais pas encore comment.

Mon Maître vient alors me sucer les tétons en même temps qu'il me branle. Au passage, il change la seringue de côté pour développer les deux. Il mordille au passage, quand il suce, puis il vient vers ma bouche. Je dois lui tendre ma langue et il la bloque avec les dents pour me rouler une pelle pendant qu'il me pelote. C'est délicieux. J'adore. En même temps, qui n'aime pas se faire masturber et tripoter en même temps ? Avouez ...

Mon Maître se couche alors sur l'estrade de la cabine et je dois le lécher : les bras, les aisselles, les tétons, le cul et aussi, bien sûr, je dois lui sucer les parties et le sexe.

Puis il se redresse et entreprend de me maquiller car il aime avoir une salope soumise. Il me féminise donc et m'attache les poignets au niveau du cou. Je dois me pencher en avant pour quelques coups de martinet. Puis mon Maître me pénètre avec les doigts pour commencer. Un puis deux, et trois. Il ressort de mon cul et je l'entends farfouiller dans ses affaires. Je sais ce qu'il va faire. J'espère que ce n'est pas ça, je m'accroche à cet espoir mais je sais au fond de moi ce qu'il va faire.

Et bientôt, au fond de moi, je le sens carrément. Il travaille depuis quelques temps à la confection d'un gode en silicone qui me paraît énorme de 20cm sur 5. Il me l'enfonce. Lentement. J'ai du mal, je me contracte mais j'ai ordre de pousser mon cul sur le gode. Il finit par entrer intégralement. Mon Maître me travaille avec le gode. Je dégouline littéralement par la chaleur. Les gouttes de transpiration font même des "ploc" en tombant par terre et mes pieds nus glissent sur le sol mouillé. Puis il me dit de m'asseoir sur l'estrade et de me balancer pour me travailler le cul et les entrailles.

Après quelques longues minutes, je demande l'autorisation de retirer l'engin de mon ventre car, s'il me donne du plaisir, il me génère aussi de la douleur. Mon Maître me l'accorde. Je vais donc aux toilettes pour le retirer en laissant la porte ouverte sur le couloir car mon Maître estime qu'une salope soumise ne doit pas avoir de pudeur. Je le ramène et Maître Justin me dit qu'il va le meuler pour créer des "boules" sur la longueur pour plus de sensations. Je ne doute pas de l'efficacité de la manoeuvre et je dois dire que j'ai un peu moins peur puisque je viens de l'avaler, ce que je ne pensais pas possible.

Je dois ensuite me coucher sur l'estrade sur le dos. Je sais ce qui va suivre. Mon Maître m'avait demander de lui dire mes couleurs préférées dans l'ordre. Il avait l'intention d'acheter des bougies de ces couleurs. Et je les ai vues dans son matériel. Je déteste la cire chaude. Je déteste. Mais je n'ai pas le choix. Je me mets donc en place. Le miroir au plafond au dessus de moi me renvoie mon image. Me voilà acteur et spectateur en même temps. Ca fait bizarre de me voir comme cela. Puis la première brûlure arrive. Intense, déjà insupportable. Je ramène mon regard sur ce qui se passe. J'avais déjà eu beaucoup de mal, dans les deux sens du terme, la dernière fois avec une seule bougie. Cette fois, mon Maître tient carrément les trois bougies, rouge, verte et blanche. Il les fait couler sur mes parties. La cire tombe, encore et encore. Je ne tiens pas, je remue, me tortille, gémis, crie et finis par même me retirer. Je dois reprendre ma place. Je le fais. "Sur le ventre." Alors je me tourne. Je dois écarter les fesses. Ma raie me lance alors atrocement. Heureusement, Maître Justin ne s'attarde pas trop. Il éteint les objets de supplice.

Alors mon Maître décide qu'il est temps de m'exhiber. Nous sortons et retournons au fumoir à l'autre bout du labyrinthe. Arrivés là, il commence par me faire renouveler mon contrat. Je devais apporter aujourd'hui le contrat de soumission que j'avais signé le 2 septembre dernier, trois semaines à peine avant de me désister. Maître Justin me fait ajouter à la fin du contrat, au marqueur rouge, que je confirme mon souhait d'être son soumis. Date (le 23/06/2017) et signature. Ensuite, nous papotons avec un autre client du club pendant que mon Maître fume son cigarillo en buvant une au gazeuse que j'ai dû aller lui chercher. C'est le seul client. Il n'y a pas grand monde aujourd'hui. Surement à cause de la chaleur difficilement supportable dans le club.

Puis nous nous rendons dans une autre cabine. Celle qui contient un sling. Une première pour moi, encore. Je m'installe. Mon Maître me demande s'il doit m'attacher les chevilles en l'air. Non, je tiendrai. Mon Maître commence par me traiter un peu le ventre et les parties au martinet. Puis il sort les deux bougies bleue et verte. Mon calvaire reprend. Je ne tiens pas en place et chaque mouvement reflexe me fait osciller dans le vide. Je pose les pieds sur les murs pour me stabiliser. Parfois, par mégarde, je heurte mon Maître du pied. Lui, il se délecte de mes réactions et continue de jouer avec sa salope soumise. Puis je dois me couvrir moi-même les couilles de cire. J'essaye mais je ne vois pas bien ce que je fais. Mon Maître attache alors mon sexe à une ficelle qu'il passe dans un maillon de la chaine qui supporte le sling prêt de mon épaule droite. Puis il attache l'autre extrémité à ma cheville droite. Pareil à gauche où ce sont mes couilles qui sont étirées. Si je ne garde pas les jambes levées bien haut, je tire sur ma bite avec le pied droit et sur mes couilles avec le pied gauche. Mais je tiens bien les jambes levées. Mon Maître est satisfait de l'accès qu'il vient de se dégager vers ma raie. Et la cire tombe à nouveau. C'en est trop, je remue et gigote énormément au point de ne plus tenir mes jambes. Je les laisse retomber et ça tire sur mes parties atrocement. Je panique. Je ne sais plus trop ni ne comprends ce qui se passe. Je craque et j'arrête de gémir pour prononcer le safeword. "Rose". Je suis complètement perdu. Mon Maître arrête. Il ne m'a pas entendu prononcer le safeword mais il a compris que c'était trop pour moi. Il met fin au système de balancier entre mes jambes et mes parties. Il se contente d'attacher mes parties à la chaine et libère mes chevilles. Il continue un peu la cire. Il me dit de me branler et qu'il arrêtera quand j'éjaculerai. Mais je n'arrive même plus à bander en me tripotant.. Alors il cesse complètement. Il va être l'heure pour lui de partir.

Il me laisse en place et me caresse plus doucement en me disant qu'il est content de moi et qu'il a passé un bon moment. De petites tapes sur l'intérieur de mes cuisses et quelques pincements des tétons viennent ponctuer son discours. Pour parler et me toucher, il se penche sur moi, qui suis toujours allongé sur le sling. Mes jambes sont, de ce fait, écartées plus qu'à leur habitude et ça tire à l'intérieur de mes cuisses. Le client avec qui nous avons bavardé vient me proposer de me pisser dessus dans la douche. J'imagine que mon Maître va me donner l'ordre d'y aller mais il n'en fait rien. Il doit comprendre que je suis à bout. Il doit avoir un peu pitié. Ca me va comme ça. Ce qui veut dire "non". Je le ferais s'il me l'ordonnait mais j'aime qu'il ne le fasse pas. D'ailleurs, je ne réponds pas, ni oui, ni non.

Après quelques minutes Maître Justin se retire pour rentrer chez lui. Il me laisse le soin de nettoyer la cire que nous avons un peu répandue partout, surtout dans deux cabines. Je ne sais pas quelle heure il est quand il part. Il me faut plus d'une bonne heure, j'imagine, pour tout nettoyer, me remettre en état et sortir. Quand je quitte le sex-shop, il est 21h15. J'y étais entré à 13h30 et la séance avait commencé vers 15h15. Arrivé dans ma voiture, après avoir avalé des sandwiches, je pique même un petit roupillon car je suis trop fatigué pour repartir comme ça.

Je vous remercie une fois de plus, Maître, pour ces moments délicieux, parfois difficiles, mais où j'adore être votre soumise salope à disposition. Vivement la prochaine rencontre le 6 juillet au même endroit, à 19h30 a priori ...

(Vous retrouverez les photos dans ma galerie si j'arrive à les poster car j'ai quelques soucis depuis quelques temps ...)

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